Éthique de publication

Plagiat

Les auteurices s’engagent à suivre une éthique de publication antiplagiat. Aussi, iels doivent déclarer touts les éléments qui sont fortement issus de travaux déjà publiés qu’ils ou un·e tierce auraient déjà publiés. Le responsable du numéro ou le comité scientifique se réserve le droit de refuser la publication pour des motifs de plagiat.

Conflits d’intérêt

Toute personne impliquée dans l’évaluation d’un article et se trouvant en conflit d’intérêt doit le déclarer au Comité scientifique.

Intelligence artificielle (IA)

L’utilisation d’un outil d’intelligence artificielle génère des paraphrases puisque ce dernier puise dans son corpus d’entraînement pour produire du texte. L’outil ne mentionnant pas ses sources, il en revient à l’auteurice de faire cette vérification.

Dans son entente de publication, la Revue d’études autochtones mentionne : « L’Auteur déclare également qu’il a pris toutes les mesures nécessaires en vue d’assurer le respect des droits des tiers et le respect de la politique éditoriale de la Revue advenant l’utilisation de l’intelligence artificielle. ». Les auteurs deviennent ainsi imputables du respect des droits d’auteur des tiers (ou a minima ses droits moraux – i.e. attribution, réputation –qui ne sont jamais cédés d’office avec une cession de droits d’auteur), ce qui encourage un usage éthique de l’IA.

Selon le COPE, les outils d’intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT ne peuvent être considérés comme auteurices d’un article. Étant des entités non légales, ces outils ne peuvent pas assumer la responsabilité du travail soumis, ni gérer les conflits d’intérêts ou les accords de droit d’auteur. Les auteurs doivent indiquer clairement comment et quels outils d’IA ont été utilisés dans leur travail. Ils restent pleinement responsables du contenu de leur manuscrit, y compris des parties générées par l’IA, et sont redevables de toute violation de l’éthique de publication.

Gestion des plaintes

Lorsqu’un litige survient lors d’une évaluation par les pairs, c’est le comité scientifique qui intervient.