Art, genre et sport : Le dessin des corps
Les symboliques associées à « l’homme » et à « la femme » sont tellement bien ancrées dans les êtres qu’elles sont pensées comme étant naturelles : deux catégories homogènes, immuables et intransgressibles. Cette construction sociale antagonique est une recette explosive, car elle perpétue le pouvoir des hommes sur les femmes, ainsi que sur tous les corps qui ne correspondent pas à l’hégémonie masculine (Connell, 1987). Bien que le processus puisse être extrêmement long, déconstruire le genre, créer plus de fluidité et ainsi d’égalité est réalisable. Cela se fait notamment par l’art. Plusieurs artistes ont démontré avec leurs œuvres qu’il était possible de performer un autre genre, peu importe celui qui nous a été assigné à la naissance.
L’œuvre de Robert Mapplethorpe, en particulier sa série de photographies réalisées avec l’athlète et haltérophile Lisa Lyon1Mapplethorpe, R. (1983) Lady [Photographie de Lisa Lyon]. Castelli, New-York, États-Unis. https://www.castelligallery.com/exhibitions/robert-mapplethorpe., m’a inspirée pour ce texte, car elle permet d’observer la coexistence des caractéristiques du féminin et du masculin tout en suscitant une réflexion sur les barrières entre les genres, qui résident souvent au niveau de la pensée et non du corps. Je tenterai alors de comprendre pourquoi des œuvres comme celles de Mapplethorpe troublent le genre2Expression popularisée par J. Butler dans son ouvrage Trouble dans le genre publié en 1990 (traduction en français en 2007) et, plus largement, pourquoi les femmes viriles dérangent. J’exposerai l’idéologie derrière l’infériorisation musculaire et physique des femmes et j’établirai des liens entre cette idéologie et la violence faite aux femmes. Je soutiendrai que le sport est utilisé comme mécanisme pour subordonner les femmes et qu’il est envisageable de changer les perceptions avec l’art.
Sous le prétexte d’une corporéité plus petite, les femmes ont été discriminées par le passé et le sont toujours aujourd’hui. Pour conserver cette hiérarchisation, où le corps de l’homme est supérieur, une version fictive du corps de la femme a été essentialisée. Le but, ou plutôt l’utopie tant recherchée par de nombreuses femmes, celle d’être plus mince3Diverses études américaines, françaises et canadiennes soulignent qu’une « forte proportion d’enfants sont préoccupés par le poids, et ce, dès l’âge de 4 ou 5 ans [et que] plus de 40 % des fillettes ont déjà eu recours à des régimes amaigrissants à la fin du primaire. » (Thibault, s.d). Également, selon un vaste sondage mené chez les femmes canadiennes, 80% d’entre elles veulent perdent du poids; 56% des femmes ayant un poids santé veulent perdent du poids et 30% des femmes qui sont sous le poids considéré santé veulent également perdre du poids (Gouvernement du Québec, 2023). jusqu’à parfois même s’en faire violence, ne collabore-t-elle pas à sans cesse réifier une idée faussée de notre biologie? Cela est grandement influencé par plusieurs milieux où l’imposition de minceur extrême est de mise : monde du sport, de la mode, de l’art, de la publicité et des médias. Les femmes ont tendance à pratiquer le sport pour perdre du poids, ne pas prendre trop de muscles et finalement, trop de place. Les hommes, au contraire, ont tendance à faire du sport pour obtenir tout cela4« Bien que la majorité des jeunes du secondaire aient un poids normal ou inférieur à la normale, plus de la moitié sont insatisfaits de leur apparence corporelle (ISQ, 2018). Les filles, davantage que les garçons, cherchent à perdre du poids (31% contre 16%) ou à maintenir leur poids (33% contre 28%), alors que les garçons sont plus nombreux à vouloir gagner du poids (19% contre 6%) ou à ne rien faire concernant leur poids (37% c. 30%). En somme, les filles ont tendance à vouloir maigrir, alors que les garçons veulent augmenter leur masse musculaire. » (Gouvernement du Québec, 2023)..
En effet, l’Institut national de la nutrition du Canada affirme que le tiers des femmes qui affiche un poids santé sont présentement au régime, alors que les jeunes filles commencent dès l’âge de 9 ou 10 ans à suivre cet exemple (Guéricolas, 1998). Wolf (1990) relate d’ailleurs que plus de 80 % des fillettes de 10 ans suivent un régime (Guéricolas, 1998; et Wolf, 1990, cité dans Vinette, 2001, p. 131).
De plus, l’image d’un homme en couple avec une femme plus grande, plus forte et plus imposante ne rend-elle pas perplexe? Cette image ne concorde pas avec la conception normative des corps « hommes et femmes ». La stature, la grosseur et la musculature devraient être plus considérables chez « l’homme », car c’est en partie ce qui le maintient dans une situation de pouvoir et de domination. Cette construction entraine une modulation du corps masculin en opposition avec le corps féminin (mince et dépourvu de musculature). Ce couplement d’individus dans les unions hétérosexuelles doit correspondre aux règles de ce qui est nommé biologique. C’est l’une des façons quotidiennes de réitérer la hiérarchisation et la domination du corps de l’homme sur le corps de la femme, car les couples hétérosexuels tentent de respecter la convention sociale du couple physiquement bien assorti, où le corps de la femme doit être plus petit que celui de l’homme (Nicolas, 2003, p. 86). Présenter des corps de femmes viriles nuit au positionnement de l’homme. Regarder des images de femmes fortes et musclées trouble l’organisation des corps. C’est ce que provoque l’œuvre de l’artiste Robert Mapplethorp, qui, en 1982, a photographié l’athlète d’haltérophilie Lisa Lyon. La construction sociale précède la corporéité, ce qui brouille les lignes qui dessinent réellement les corps. Évoquer sans cesse l’aspect biologique dans le dessin antagonique des corps de l’homme et de la femme empêche toute réflexion plus approfondie sur les mécanismes bien établis qui les conçoivent.
En réifiant sans cesse cette idée que les femmes sont moins puissantes et peu musclées, de réelles différences dans le traitement imposé aux femmes sont créées. Cela contribue à la dévalorisation sociale des pratiques sportives féminines. Par exemple, ce n’est seulement que depuis 2012 que les femmes participent à toutes les disciplines olympiques avec l’introduction de la boxe féminine (Comité international olympique, 2024, p. 4). Malgré ce droit, il leur est difficile de se hisser au même niveau sportif que les hommes, car elles ne reçoivent presque aucune couverture médiatique et le financement qui leur est accordé est dérisoire : à défaut d’être adéquatement payées pour pratiquer leur sport, de grandes athlètes doivent occuper un emploi à temps plein (Conseil du statut de la femme, 2023, p. 35). De plus, les responsabilités et obligations familiales pèsent encore davantage sur les femmes, les empêchant de se consacrer autant à leur sport. Les hommes et les femmes sont aussi séparé.e.s : de poids et de taille similaires, un homme et une femme ne peuvent quasiment jamais rivaliser dans le cadre d’une compétition, que ce soit lors d’un combat, d’une course ou d’autres activités sportives.
Un autre élément important de cette iniquité est le fait que, dès un très jeune âge, les filles et les garçons sont dirigé.e.s, par la famille et par l’école, vers des pratiques sportives dites masculines ou féminines qui habilitent et sculptent les corps de façons très différentes5Un rapport de Kino-Québec (2000) nous apprend qu’il y a une grande différence dans les activités sportives pratiquées par les filles et les garçons : parmi les dix activités les plus populaires chez les filles québécoises de 15 à 24 ans, on ne retrouve pas de sport d’équipe, mais plutôt des sports dits « pour la forme » (course à pied, vélo stationnaire). Le Conseil du statut de la femme, dans son étude « femme et sport » (2020), souligne la ténacité des stéréotypes genrés dans le monde du sport et le fait que le sport est encore associé à la masculinité, particulièrement s’ils demandent vitesse, force et puissance. Des études française, américaine et suédoise arrivent à la même conclusion (Conseil du statut de la femme, 2020).. Cette question sera abordée plus tard.
Comment savoir où le biologique entre en cause dans les performances des femmes, dans leur puissance, leur force et dans leur musculature sachant qu’elles ne partent pas sur un pied d’égalité puisqu’elles ont un retard historique dans la pratique, se heurtent à beaucoup plus de barrières et ont moins de temps? Ainsi, ce n’est que depuis 2019 que nous remarquons que les femmes se démarquent dans les ultras marathons et qu’elles commencent à accumuler des victoires dans des compétitions mixtes (Williams, 2019).
L’art peut déconstruire et troubler le genre, mais il peut aussi modifier les corps. Les œuvres de Touko Valio Laaksonen, par exemple, ont aidé les hommes homosexuels à se (ré)approprier les corps virils : « C’est grâce à ces dessins, signés “Tom of Finland”, que les attributs d’une certaine masculinité sont devenus la propriété d’hommes qui, jusque-là, s’étaient vu priver de tout droit à la virilité. » (Snaith, 2009, paragr.1) L’une des caractéristiques de ces corps est la corpulence définie par l’hypertrophie musculaire. Comme les hommes homosexuels sont souvent associés à la féminité, le territoire du sport leur est moins facilement accessible. Les garçons qui participent à des sports d’équipe sont plus à risque d’avoir des comportements négatifs à l’égard des personnes qui sont non hétérosexuelles et ont trois fois plus de chance d’entretenir des croyances homophobes (Chouinard, 2010; Chouinard, 2011). Les insultes homophobes prennent la forme d’une « police » qui détermine qui a le droit à ce lieu et qui ne l’a pas. En définitive, cette « police » choisit qui peut accéder à la stature du corps fort et puissant. En créant son iconographie, Tom of Finland a certainement encouragé nombre d’hommes à se réapproprier le territoire du sport. Le sport, rendant les corps plus imposants, puissants et en contrôle, peut servir ensuite de défense.
Comme mentionné plus haut, l’une des grandes injustices qui placent les femmes à l’arrière de l’échiquier des performances sportives est l’iniquité dans la pratique du sport dès le jeune âge. Le sport est un agent social très important pour les jeunes garçons, car c’est là qu’ils apprennent les comportements appropriés afin d’atteindre une masculinité hégémonique : domination, compétition, agressivité, force, corpulence, développement musculaire et coordination, mais aussi l’autodéfense. Donc, en plus de former une corporéité propre au genre masculin, l’institution sportive enseigne des comportements et des aptitudes.
On observe, dès la maternelle, que l’identité se construit en se différenciant de l’autre sexe (féminin et masculin dans le contexte de notre société binaire). Les enfants construisent leurs identités par le jeu, c’est-à-dire que les jeux deviennent classés par rapport au genre (Zaidman, 2007). À force de pratiquer des jeux différenciés, les enfants créent des forces communes au sexe auquel iels ont été identifié.e.s, voire des forces qui deviennent des caractéristiques vues comme naturelles. Par exemple, pour les filles, la beauté intérieure et extérieure est importante, tandis que pour les garçons, c’est plutôt « la vitalité sportive, la force physique et la vaillance » (Delalande, 2003, paragr.17). Ces caractéristiques sont fortement valorisées par la famille et le milieu scolaire. Il n’est pas rare d’observer une agressivité et une violence tolérées chez les garçons dans un contexte sportif, que ce soit par les surveillant.e.s dans la cour d’école, par les entraineur.euses ou par les parents, qui les cautionnent et les encouragent à leur tour depuis les estrades, comme l’ont tristement montré plusieurs cas de violence médiatisés dans les dernières années (Duchaine, 2012; Brunet, 2019; Pilon-Larose, 2023; Poirier, 2024). Cette violence est internalisée dès le jeune âge et considérée naturelle chez le sexe dominant. Puis, à l’âge adulte, cette violence est grandement financée et célébrée par un système capitaliste et fondamentalement patriarcal qui transforme les sports dits masculins en divertissement pour en tirer des profits. Ce divertissement promeut le pouvoir des hommes aux corps à la musculature plus développée. Cette simple observation, quand elle est répétée à maintes reprises, finit par (pré)déterminer nos corps et nos croyances d’une biologie si dichotomique entre les sexes. En évacuant les femmes de cette arène dès l’enfance, les corps se bâtissent en opposition. Si la recette est bien copiée et orchestrée, cela ne peut que rendre les corps féminisés impuissants.
Effectivement, l’affirmation, la confiance en soi, la domination d’un.e adversaire et les habiletés physiques dans des contextes de compétitions sont des « expériences formatrices » desquelles les filles et les femmes sont majoritairement privées en raison de la culture sportive (Gagnon, 1995, p. 47). Selon moi, l’absence de ces expériences formatrices constitue aussi un facteur à considérer pour expliquer pourquoi il est rare que les victimes d’agressions se défendent ou prennent la fuite. Le rapport présenté à Justice Canada explique que les femmes ne sont pas préparées à se défendre efficacement : « La plupart des renseignements sur la prévention de la violence sexuelle sont cognitifs et ne comprennent rien sur la façon de se défendre physiquement » (Haskell et Randall, 2019, p. 17). Sans cette formation essentielle, les victimes tendent à figer. C’est pour cela d’ailleurs que les policiers et les soldats sont soumis à des entrainements répétitifs. De bons réflexes, comme la « fuite » et le « combat », aident à se sortir d’une situation d’agression (Haskell et Randall, 2019, p.17).
L’idée n’est pas de reprocher aux femmes leur passivité ou leur immobilité face à une attaque, mais de réfléchir aux divers facteurs qui les maintiennent en situation de vulnérabilité. Acquérir cette formation, qui pourrait réduire cette vulnérabilité, demanderait à rendre la culture sportive plus inclusive, moins patriarcale et moins genrée6Il est possible d’acquérir cette formation (dominer un.e adversaire, prendre la fuite, développer de bons réflexes, développer des habilités physiques, etc.) en pratiquant divers sports tels que le soccer, le hockey, le football, le basketball, etc. Malheureusement, le genre féminin est peu représenté dans ces derniers.. La société de violence contre laquelle les femmes doivent se prémunir existe en partie à cause de cette culture sportive, ce qui serait d’ailleurs un point intéressant à étudier dans un autre texte.
Le but ici n’est pas de remettre en question tous les facteurs biologiques que les êtres humains ont hérités par hasard, par exemple le fait que certains ont la capacité de porter et de nourrir un.e enfant, changeant profondément les formes du corps à qui désire s’y prêter.
L’objectif est plutôt de questionner l’usinage social des formes et des contours des corps compris comme strictement masculins ou féminins. La définition des corps est d’après moi en partie influencée et encouragée par l’institution sociale du sport. Le processus sera long afin de pouvoir observer les véritables configurations et forces que peuvent prendre les corps féminins, car les femmes sont trop peu présentes, et les barrières imposées ne permettent pas d’équité pour réellement les évaluer. Heureusement, l’art rend possible la contemplation et l’observation de la beauté et de la force des corps féminins virils. Les artistes présentent des modèles de corps qui cassent le moule morphologique qui est « prédestiné » pour chaque personne.
Bibliographie
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