Passer au contenu Accéder au menu principal Accéder à la recherche
Passer au contenu Accéder au menu principal
UQAM logo
Page d'accueil de l'UQAM Étudier à l'UQAM Bottin du personnel Plan du campus Bibliothèques Pour nous joindre
PRÉFIX
UQAM logo
PRÉFIX
  • Accueil
  • À propos
    • Présentation
    • Équipe
    • Protocoles/Politiques éditoriales
    • Soumettre
    • Appel à contribution
    • Nous joindre
  • Numéros
    • Vol. 1 no 1 (ouvert)
    • Archives
  • MultimiX
  • Féminisphère
  • Cahiers de l’IREF
    • Cahier 10
    • Hors-série
    • Archives – Cahiers de l’IREF
  • Dans les médias
  • Activités
  1. UQAM
  2. PRÉFIX
  3. Cahiers IREF
  4. Agora, no.6, 2014, «Filiations du féminin»
  • Accueil
  • À propos
    • Présentation
    • Équipe
    • Protocoles/Politiques éditoriales
    • Soumettre
    • Appel à contribution
    • Nous joindre
  • Numéros
    • Vol. 1 no 1 (ouvert)
    • Archives
  • MultimiX
  • Féminisphère
  • Cahiers de l’IREF
    • Cahier 10
    • Hors-série
    • Archives – Cahiers de l’IREF
  • Dans les médias
  • Activités

Options de recherche avancée pour des résultats plus précis.

Liste des contributeurices
16 septembre 2014

Agora, no.6, 2014, «Filiations du féminin»

Saint-Martin, Lori

Cette publication est disponible en libre accès

Disparues sous le nom du mari dans les arbres généalogiques, exclues traditionnellement de la transmission du patrimoine et, partant, des réélaborations littéraires de cette grande question, tenues à distance des débats sociaux, marginalisées ou effacées de l’histoire littéraire, les femmes souffrent d’une filiation au pire absente, au mieux trouée. Si les créateurs ont cru, selon Harold Bloom, avoir trop de pères littéraires, figures puissantes contre lesquelles il leur fallait s’insurger, les créatrices, elles, ont manqué cruellement de mères. Voilà pourquoi la filiation, si elle touche tous les êtres, est aussi une brûlante question féministe.

À l’heure où les fondatrices des études féministes universitaires arrivent à l’âge de la retraite après avoir créé des infrastructures (cours, programmes, réseaux et instituts) visant à légitimer et pérenniser ce domaine d’études, où de jeunes chercheuses ouvrent des directions nouvelles, qu’en est-il des filiations du féminin en littérature? Comment les femmes d’hier et d’aujourd’hui ont-elles pensé ces filiations, autant les liens de sang que ceux qui ont transité par la pensée et l’écriture? Ces rapports les ont-elles freinées, fortifiées, ont-ils inspiré leur créativité, infléchi leur voix, déterminé la forme de leurs écrits? Voilà la question autour de laquelle s’articule le présent livre. Les textes réunis ici revisitent, sous un angle féministe, des filiations tant familiales (avec la mère, les sœurs, les frères) qu’intellectuelles (rapports entre créatrices d’époques différentes). En posant leur regard sur des œuvres littéraires et des pratiques culturelles issues d’époques et de pays différents, ils interrogent la filiation comme art de s’affirmer libre, mais aussi liée aux autres.

ISBN: 978-2-922045-44-4

Cahier 6
culture écriture des femmes éducation famille filiations imaginaire littréature patrimoine travail

Cahier de l'IREF

Licence Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International

Ce travail est sous une licence CC BY-NC-ND 4.0.

Avis de confidentialité

▲

UQAM - Université du Québec à Montréal

  • PRÉFIX
  • Nous joindre

Accessibilité Web